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Chaussette
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Chaussette
Chaussette
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Age : 31
Date de naissance : 26/02/1993
Emploi/loisirs : étude en visuel communication
Localisation : Danemark.
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Mar 10 Avr - 4:25
Première histoire :

C’était le petit matin. Nous étions sensément en plein milieu de l’été mais les retombées nucléaires volaient encore dans l’atmosphère, empêchant d’un épais nuage gris-rosé les rayons du soleil de percer. Alors il faisait froid… L’air brûlait mes poumons et mes rétines mais je ne pouvais plus rester chez moi à attendre que le temps passe.

Parce que non… Je n’avais plus d’emploi. L’usine dans laquelle je travaillais avant le drame avait fermé, comme beaucoup d’autres. Peut être les combats avaient-ils cessés totalement il y avait presque un an… Mais l’économie ne s’en était pas relevée encore. Peut être qu’elle ne le ferait jamais.

La télévision passait en boucle les mêmes émissions de politiques et de médecins qui faisaient état de situations d’urgences mais qui, paradoxalement, appelaient au calme. Et ce calme justement… Il me terrorisait chaque jour un peu plus. Est-ce que je faisais preuve de trop de paranoïa ? Qui aurait pu me le reprocher si c’était le cas ? J’avais perdu un frère dans la guerre. Une mère aussi… Mais si le premier avait été acteur de cette pièce qui avait pour scène le monde, la seconde n’avait été qu’une spectatrice devenue une victime collatérale. Une donnée statistique négligeable dans un bilan de guerre effroyable.

Quoi qu’il en soit, j’étais convaincu que cette sortie ne me ferait pas plus de mal que de bien. J’avais froid oui. Mais ça me permettait de me sentir vivant. J’en avais besoin après l’explosion d’une usine pétrochimique qu'il y avait eu environs six ans auparavant. Une pluie artificielle acide était alors tombée sur la ville et j’en portais encore les cicatrices de brûlures sur les bras et le côté droit de mon visage. J’avais passé trop de temps dans un hôpital surchargé, pensant que j’attendais la mort au milieu de souffrances que je n’aurais jamais cru ressentir.

Alors tant pis pour le froid. Tant pis pour mes alvéoles pulmonaires qui saignaient parce que les masques ne retenaient qu’une infime partie de ces infections qui feraient plus de victimes que la guerre elle-même. Tant pis pour mes yeux qui pleuraient, tentative physiologique du corps humain pour les nettoyer des impuretés. J’étais « dehors ». Et « dehors » c’était toujours « ailleurs ». Ailleurs que dans la misère de mon quotidien.

Et cette femme ? Cette femme était morte. Enfin non… Mais je l’avais cru lorsque je m’étais approché. C’était idiot en soit… Un peu comme si j’avais couru après une contamination quelconque. Mais parfois, je suis con. Et ce matin visiblement, je l’étais plus que d’habitude.

Elle avait dût être belle à une époque. Des cheveux de soie, une peau d’albâtre… Pas bien grande mais tout en proportions délicieuses et généreuses. Pas le genre qu’on rentrait avec un chausse-pied dans une robe de haute couture mais ces femmes là avaient ma préférence. Sauf que sa beauté avait… Indubitablement flétrie. Ses cheveux étaient secs comme de la paille, sa peau crayeuse, parcourue de plaques rouges inexplicables… Son regard probablement humide autrefois était à présent vitreux.

J’ai croassé quelque chose, le son de ma propre voix me paraissant étranger. Je crois que je lui ai connement demandé si elle allait bien. Mais elle n’a pas répondu. Elle a simplement avancé vers moi, claudiquant. C’était terrifiant. Un peu comme avoir l’impression d’être dans un de ces vieux jeux en survival horror que j’adorais quand j’étais gosse.

Mais je n’ai pas bougé au départ. Un de ses bras s’est levé, sa main légèrement décharnée se tendant vers moi… Et toujours aucun mouvement de ma part pour m’enfuir. Esprit trop rationnel ou peur paralysante, je ne saurais plus le dire avec exactitude.

De la salive a glissé à la commissure de ses lèvres, claquant en petites bulles sèches et malodorantes d’une haleine de mort. J’ai amorcé mon premier pas en arrière alors qu’un râle rauque s’élevait dans sa gorge...

Et quand elle s’est finalement effondrée, j’ai enfin trouvé la lucidité de me retourner… Et de courir…

Deuxième histoire :

Nous sommes en 2050, la Terre a connu une décennie atroce, il y a eu une troisième guerre mondiale, des millions et des millions de morts et pour arranger le tout, de nouvelles maladies sont apparues . En Corée nous sommes obligés de subir de nombreux tests médicaux pour prévenir une quelconque infection ou virus.

Mais depuis hier ... je me pose quelques questions, le gouvernement n'a pas l'air de tout nous dire ... Lors de ma promenade quotidienne je suis tombé sur une jeune femme. Au premier abord, elle avait l'air d'être morte... Quand je me suis approché pour voir de plus près le cadavre, elle s'est relevée et a commencé a s'approché de moi d'une effrayante démarche...
Le fait de l’avoir approché par pur curiosité, je le regrette un peu maintenant. Dire que je pensais que e vivrais tranquillement malgré le désastre qu’il y avait eut. Ah, le temps avant la troisième guerre mondiale a l’air tellement beau, de la façon dont le disait ma grand-mère. Mais maintenant ce n’est qu’une utopie.

Maintenant je suis chez moi avec la jeune femme, dans mon pitoyable intérieur, où les cafards traînait encore et encore. Mais cela ne semblait pas effrayé la jeune femme au contraire, elle en était indifférente. Elle fixait le vide assis sur mon piteux. Elle murmurait encore des choses incompréhensibles. Je ne sais pas pourquoi je l’ai prise avec moi…? Peut être que c’était sur le coup, des inspecteurs de la société TicTox qui s’occupait de stériliser certain endroit, voir même exterminer des corps? J’aurais peut être pu y passer, c’est pourquoi j’avais fui. Peut être aurais je dû la laisser là bas et la signaler à ces Inspecteurs?

Je me pris la tête entre les mains et me secouer les cheveux, réfléchissant à quoi faire. D’un coup je me levais et me dirigea vers la jeune femme. La regarda un moment. Peut être hier avait elle une démarche effrayante, mais ça s’était sûrement parce qu’elle avait faim et qu’elle n’avait rien mangé pendant un long moment. Je lui avais alors laissé une miche de pain qu’il me rester ainsi qu’un peu d’eau de ma gourde.
J’essayais donc de lui parler:

« Euh… je peux savoir qui vous êtes…? »

Elle me regarda donc, ses yeux vides de vie m’effrayait, c’est comme si on l’avait torturé pendant des années. Elle leva sa main, par reflexe, je pris du recul. Je ne la connaissais pas et bien sûr j’ai peur de ce qu’il pourrait se passer. Bien que je sois un homme d’un mètre soixante dix, et que je pourrais facilement l’immobiliser, avec les êtres étranges qu’on peut voir maintenant sur terre, l’apparence physique ne peut plus vraiment servir comme mise en garde. Même ne serait-ce qu’un petit être peut te tuer…. Même une bactérie. Alors avec elle, je préférais prendre mes distances. Ce qui m’étonna par contre c’est son air d’incompréhension face à ma réaction. Elle leva sa main jusqu’à son œil pour me laisser entrevoir un bout d’une sorte de tatouage sous son œil. Je ne compris pas le symbole.

« Je ne comprends pas…? Pourquoi as-tu une marque dans l’œil? »

Son air impassible laissa place à un visage d’inquiétude mais aussi d’incompréhension encore une fois. Elle ouvrit alors la bouche pour laisser échapper ces mots:

« Je…suis…Je… »

Apparemment elle avait du mal à parler. Bien qu’elle pourrait ressembler à une asiatique, elle avait un petit accent occidental… pourquoi? Elle avait la peau blanche tout comme moi, et pourtant…

« Guerre… »

Elle réussit à peine à articuler ce mot. Guerre… non, avait elle un lien avec la guerre et cette maladie que tout le monde redoute? Je ne sais pas , mais à ses mots, je n’étais pas rassuré.
Je regardais mes mains, mes ongles étaient plus ou moins noircis. De toute façon je savais que j’étais aussi condamné. Malgré les traitements médicamenteux, je n’ai pas pu échapper à la maladie, c’est aussi pour ça que j’ai été jeté dans ce bidonville d’après guerre aux larges côte de la Corée du Sud, là où tous les habitants sont des marginaux subissant cette ségrégation , où chaque jours des habitants succombent à cette maladie infectieuse.
J’avais entendu d’une rumeur qu’une minorité de personnes… un peuple inconnu avait servi à la recherche nucléaire de plusieurs pays, et ensuite exterminés. On disait qu’ils avaient un signe particulier… et elle, elle répondait à ce critère. Était ce une survivante? Pourquoi était elle là bas dans ce cas? Il me semble qu’on appelé ces personnes des…Dé-indre…

« Est- ce que tu es…. Une Dé-indre? »

Elle hocha la tête. Était ce pour ça qu’elle avait l’air en bonne santé ? Surtout en étant avec moi, ici dans ce bidon ville, où le risque de propagation était la plus forte ? Et où les habitants meurent à 100% de cette maladie? Elle devait sûrement cacher un grand secret, que même le gouvernement redoute qu’il ne soit dévoilé? C’est l’impression que j’ai de cette jeune femme.

Quelque chose en moi me disait de fuir et de ne plus revoir cette femme. En effet, j’avais peur, peur de savoir ce que le gouvernement craignait. Mais au point où j’en suis… je préfère mourir en ayant accomplit quelque chose.

« Comment tu t’appelles ? »

Elle ne comprit pas ma question et me regarda perdue.

« Ton… nom… je m’appelle Ryung, Kim Ryung »

Je lui disais tout cela accompagné de gestes la montrant puis me présentant. Elle avait dû comprendre et pointa un doigt vers elle disant:

« moi… Samsipsam »

Samsipsam? Le nombre 33? Pourquoi un nombre? Là où elle était avant, les gens était il aussi inhumain?

« Bien dans ce cas, tu t’appelleras Sam! »

Je lui tendis la main, et elle compris et la serra… maintenant il faut que je sache…

Troisième histoire :
Elle n’était pas comme les autres, elle n’était pas humaine, en tout cas, son visage, son corps, rien en ressemblait à un individu, comme moi, comme les autres. Sa manière d’avancer, de marcher, rien n’était commun. Tout en levant les yeux vers elle, j’ai pu apercevoir le néant, le vide absolu. Elle avait certes un corps humain, mais il n’y avait aucune expression sur son visage, rien, comme un animal mort, comme une bête morte en décomposition. Ses yeux . . . . Avait-elle des yeux ? Je n’ai pas vraiment pu les distinguer, certainement à cause de la peur. Sur le coup, le seul réflexe que j’ai eu, c’était de reculer, de manière brusque. J’ai senti cette peur me tétanisait, plus aucun muscle n’avait semblé fonctionner correctement. Alors dans un seul mouvement, presque gracieux, je me suis enfui, prenant mes jambes à mon cou, courant le plus vite possible, comme si je me retrouvais traquer par quelqu’un, par une bête. J’avais le sentiment, en voyant son corps, en voyant son visage vers moi, d’être la proie, d’être sa proie. J’étais finalement comme un animal dont il fallait, absolument, se nourrir. J’ai donc continué à courir, mes genoux tremblant peu à peu, la fatigue des derniers jours se faisant de plus en plus ressentir, mon pouls s’accélérant à une allure hallucinante. De toute manière, je n’avais pas d’autre échappatoire, soit je courais, soit je me faisais prendre & je savais que l’instinct de survie était plus fort que l’instinct de mort. Au bout de quelques minutes de course intensive, j’ai pu retrouver mon calme, retrouver les battements de mon cœur. J’étais parvenu à fuir, mais allais-je avoir cette chance les prochaines fois ? Car oui, au fond de moi, je le savais, cela était certes ma première rencontre, mais pas la dernière.

De là, j’ai su que le gouvernement nous mentait, à tous. Il y avait quelque chose qui vivait sur nos terres, en dehors de nous, humains normaux. J’ai eu beau prévenir les autres, j’ai eu beau raconté mon expérience, personne ne m’a cru. Ils pensaient tous que je divaguais, que cette troisième guerre mondiale m’avait fait perdre la tête. Ils auraient dû m’écouter, ils auraient dû entendre ma voix, ils auraient dû se méfier, ils auraient dû se protéger. Moi, j’ai essayé de les prévenir, mais en vain. Je n’ai rien à me reprocher, car j’ai tenté de les prévenir, ils ont juste fait les sourdes oreilles. Je ne suis donc pas coupable de tout ce qui s’est ensuivi, car l’histoire, elle ne s’arrête pas là. Ça serait beaucoup trop simple.

L’épidémie s’est rapidement propagée dans mon « camp ». Le virus a atteint en premier les plus faibles, les plus démunis, puis les personnes âgées, puis les enfants, puis les mères, puis les pères, & ainsi de suite. Tous, ils sont devenus l’un de ces êtres immondes, ils se sont tous transformés, ils sont tous sortis de leurs humanités. Peu à peu, comme des petits pains, ils sont devenus ce que j’appelle « erreur de la nature », des zombies, ou quelque chose dans ce genre. Ils sont tous « morts », quant à moi, je suis le seul survivant de cette lignée qui a pu s’en sortir, mais jusqu’à quand ? Je sais que le virus touche tout le monde & qu’un jour, je passerai aussi. Nous avons tous notre heure, la mienne n’est juste pas encore arrivée. Pour le moment, je traque cette épidémie, je cherche une solution, mais rien à faire, la seule chose pour le moment, c’est de les tuer, un par un, famille pas famille, ami pas ami. Aujourd’hui, je parcours la terre désolée de la Corée du Sud, à la recherche de survivant, à la recherche de personne étant capable de me croire, mais personne ne me croit, ils croient tous aux paroles mielleuses du gouvernement, aux promesses, mais moi, je sais que tout est faux, que rien ne va s’arrangeait & que bien au contraire, tout va s’empirer. Je ne sais jusqu’à quand ce virus va se répandre, je ne sais s’il restera une part d’humanité sur ce monde, mais je me dois de les prévenir tout de même, de protéger la race humaine, celle dont je fais partie. La lutte sera dure, le chemin sera long, mais je n’ai pas peur. Je sais que mes jours sont comptés, mais que justement je dois me battre, pour mourir en héros. Je sais pertinemment que l’humanité est au bord de l’extinction, mais il faut des hommes comme moi pour ralentir le processus. Le temps est compté & les morts s’accumulent, de jour en jour. Qui restera-t-il à la fin ? Nous ou eux ?

Rappel

Chaussette a écrit:
Concours du mois #1 ll Vote 2-2ani-maya-happy

Bonjour les Nekos !

Voici donc le premier concours du mois ! Vous avez un mois pour participer et envoyer vos écrits. Car cette fois si, il s'agit d'écrire et non grapher ! Tout le monde peu participer, que ce soit les admins, les graph, les floodeurs, les filles, les garçons, les chats, les vaches ...

Quelques explications et règles :

1° Nous vous donnons le début d'une histoire, vous devez ensuite continuer cette histoire en étant cohérent avec le début.
2° L'histoire doit être raconté à la première personne du singulier, c'est à dire "je".
3° Le personnage peut être une fille ou un garçon.
4° Tout ceci ce passe en Asie, donc pas de bus rouge à la London.
5° Ce doit être un premier chapitre ou un court one-shot.
6° Vous devez écrire environ 40 lignes, essayez de ne pas trop écrire, car ce n'est pas non plus un roman qu'on demande. XD

Voici donc le début d'histoire. ^o^
Concours du mois #1 ll Vote 11vqmnt

Nous sommes en 2050, la Terre a connu une décennie atroce, il y a eu une troisième guerre mondiale, des millions et des millions de morts et pour arranger le tout, de nouvelles maladies sont apparues . En Corée nous sommes obligés de subir de nombreux tests médicaux pour prévenir une quelconque infection ou virus.

Mais depuis hier ... je me pose quelques questions, le gouvernement n'a pas l'air de tout nous dire ... Lors de ma promenade quotidienne je suis tombé sur une jeune femme. Au premier abord, elle avait l'air d'être morte... Quand je me suis approché pour voir de plus près le cadavre, elle s'est relevée et a commencé a s'approché de moi d'une effrayante démarche...


Envoyez moi vos magnifiques créations par mp =)


Merci pour vos participations, bonne chance en tout cas !
Chaussette
http://www.le-chat-noir-graph.com
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jack
Chat Royal
jack
jack
Messages : 2038
Date d'inscription : 25/12/2010
Age : 29
Date de naissance : 02/02/1995
Emploi/loisirs : étudiante en licence pro/grande voyageuse
Localisation : osaka, japon
Chat Royal
Mar 10 Avr - 11:07
J'ai voté, même si c'était dur .__.
jack
https://listography.com/daechu
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Invité
Invité
Anonymous
Invité
Mar 10 Avr - 12:03
De même, j'ai voté, et il y a une histoire que j'ai plus accroché par rapport aux autres ^_^
En tout cas, bravo aux participants, c'était vraiment bien ;)
Invité
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